jeudi 28 février 2013

Marseille , une presse à part







Rendez Vous pour l'émission sur la PRESSE
                                        
                                               Samedi 2 Mars 11 heures 30  FR3
                                               

                                               http://provence-alpes.france3.fr/emissions/la-voix-est-libre-provence-alpes
































Commentaire de site

Le probleme c'est que on a mis le doigt sur ces 400000 euros là mais on ne sait pas tous les autres kilo euros qui sont utilises aussi mal que ceux là. Il y a aussi les subventions de Madame Chabada va toucher parce que elle prend des subventions de la ville de marseille, de la communauté urbaine et du conseil général alors que le concert est dejà finance dans le cadre de MP2013 pour 900000 euros... et là on dit rien? Le marseillais qui va payer à 4 titres (redevance tv, impot communal, impot communauté et impot departemental) une emmission de tv sur france 2. Moi ça m'embete bien ça!




Valentin T., 28 février 2013 à 23:30 mi

Le combat contre les 400 000 € d'argent public claqués en fumée pour notamment faire venir une star internationale des podiums lumineux n'est-il pas un combat qui semble légitime ?! Tout comme pourraient également l'être d'autres éventuels combats : contre la fermeture du J1 entre mai et octobre 2013, contre les quelque 5 millions d'€ également claqués en fumée pour le Pavillon M, pour la pérennisation du J1 au-delà de 2013, contre les millions d'€ claqués en fumée pour le énième chantier de rénovation du Stade Vélodrome, etc... La Ville de Marseille ne tourne plus rond, c'est comme si la machine à claquer du fric public s'était emballée sans que l'on puisse l'arrêter. Alors en matière de politique publiques culturelles, un combat n'empêche pas l'autre ! Tout est dans tout et réciproquement, ne pourrait-on pas dire ?


















il y a 12 minutes.commentez l'édito de jean-laurent Bernard, vous voyez des similitudes entre le résultat des élections en Italie et l'ambiance politique chez nous ?



Vous savez, lorsqu'un parti politique conduit par l'ancien humoriste Beppe Grillo gagne notamment sur le fait que la politique coute trop cher et qu'il suffit de dire non à tout ou presque pour être élu, forcément cela vous fait penser aux déclaratio...ns fracassantes d'un Jean-Luc Mélenchon ou d'une Marine Le Pen. Attention, cela ne veut pas dire qu'ils aient forcément tort. Loin de là. Mais lorsque le leader Front de Gauche explique sans rire qu'il suffit de ne plus rembourser les dettes de la France pour que notre pays aille mieux, on se demande juste où est le sens des responsabilités. De l'Italie nous vient aussi un certain ras le bol à l'encontre d'une classe politique de gauche comme de droite parfaitement unie dans la défense de ses propres intérêts. Si nos députés et sénateurs continuent à s'arcbouter sur leurs privilèges sans comprendre qu'une partie des électeurs n'acceptent plus ces rentes de situation, alors les Beppe Grillo à la française ont de beaux jours électoraux devant eux. Faut-il être à ce point déconnecté pour ne pas réaliser qu'aujourd'hui nos parlementaires doivent afficher d'urgence leur solidarité à l'égard de la diète collective. On sait bien que leurs salaires amputés ne changeront rien au déficit de nos finances, mais faire de la politique c'est aussi afficher une nécessaire modestie en phase avec celles et ceux que l'on représente. Finalement c'est bien du fond des urnes que pourrait sortir des secousses déstabilisantes pour la démocratie mais révélatrices d'un vrai ras le bol. C'est aussi la fin des illusions pour certains idéologues. Un peu comme si Beppe Grillo était un pied de nez aux indignations planétaires de Stéphane Hessel. Hessel pour la fierté d'un humanisme séduisant tourné vers l'avenir, Grillo en populiste besogneux adepte du non à tout ce qui relève du courage et de l'engagement. Seulement voilà, la vie quotidienne s'écrit aussi avec des symboles et des gestes forts. Il ne suffit plus de savoir faire un discours ou de passer la nuit à l'assemblée nationale sur un projet de loi pour obtenir le respect du peuple


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commentez l'édito de jean-laurent Bernard, la commission sur l'avenir des retraites se met au travail et ça s'annonce compliqué

C'est presque simple, il faut trouver 22 milliards d'ici 2020 pour financer les retraites. Le gouvernement peut par exemple, jouer sur deux leviers. Retarder le départ en retraite et donc allonger la durée de cotisation jusqu'à 65 ans. Même les socialistes qui n'ont pour...tant pas eu de mots assez durs à l'encontre des réformes Fillon sur le sujet, commencent à dire haut et fort que l'on ne pourra sans doute pas échapper à une vie de travail plus longue. Autre possibilité, ralentir encore la revalorisation des retraites. Elles sont désormais taxées et là encore, les promesses auront fait long feu. La question est aussi de savoir combien de temps nos dirigeants pourront tourner le dos à une évidence explosive : l'inégalité entre les retraités. Comme d'habitude public et privé ne sont pas logés à la même enseigne et il reste des niches hyper protégées et intouchables dans certaines entreprises publiques. Chacun dans ce domaine défend ses avantages acquis, ce qui est un peu logique puisque l'Etat qui a des oursins dans les poches est d'une avarice sans limite dès qu'il s'agit de donner un peu plus aux retraités. Donc c'est avant la retraite que doivent se faire les changements. Vivre plus longtemps à un coût qui ne peut être supporté que par les actifs. Cette évidence ne va pas disparaitre, au contraire. Nous devrons cotiser plus longtemps et nos enfants d'avantage encore. A moins d'un changement radical du fonctionnement de la société dont le scénario n'est même pas en projet. Mettons de coté celles et ceux qui auront pris le chemin de l'usine très jeune ou encore les victimes de plans sociaux qui les laissent sur le bord du chemin à 50 ou 55 ans sans vraie perspective. Ils doivent bénéficier de la solidarité nationale. Mais pour les autres, l'énorme majorité, il n'y a d'autre solution pour le moment que de faire le dos rond et s'attendre à de nouveaux changements. Paradoxalement les 35 heures réduisent le temps de travail hebdomadaire mais allongent les années. Un peu comme les emprunts bancaires sur 10 ou 30 ans. Plus c'est long, plus c'est cher.

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